LISTE DES AFRICAINS Assassinés PAR LA FRANCE
1965
: Mehdi Ben Barka, leader socialiste de l'opposition marocaine, tiers-mondiste,
panafricaniste et anticolonialiste. El Mehdi Ben Barka était un homme
politique marocain, principal opposant socialiste au roi Hassan II et chef de
file du mouvement tiers-mondiste et panafricaniste. Naissance : 1920, Rabat,
Maroc Date d'assassinat : 29 octobre 1965, Paris,
France
CASTOR OSENDE AFANA
est né en 1930 à Ngoksa, près de Saa, dans la région du
Centre du Cameroun et est mort le 15 mars 1966 à Ndélélé, non loin de la
frontière entre le Cameroun et le Congo.Castor Osende Afanda Naissance 1930
Ngoksa Décès 15 mars 1966 (à 36 ans) Nationalité Drapeau du Cameroun Profession Economiste
Autres activités Homme politique Brillant
économiste, Osende Afana est considéré par plusieurs camerounais comme un héros
national. Moins connu que ses prédécesseurs à la tête de l'UPC Ruben Um Nyobe
et FELIX-ROLAND MOUMIE, et même que son
alter ego pour le front de l'Ouest Ernest Ouandié, il a pourtant fini assassiné
comme eux. Tout comme ces trois, il a payé le prix fort en luttant pour libérer
l'Afrique du colonialisme et néocolonialisme.
THOMAS JOSEPH ODHIAMBO MBOYA connu,
plus communément, sous le nom de Tom Mboya et, parfois, sous le surnom de
Andura était un politicien kényan de premier plan pendant le gouvernement de
Jomo Kenyatta.
Naissance : 15 août 1930, Thika, Kenya
Date d'assassinat : 5 juillet 1969,
Nairobi, Kenya.
ATANASIO NDONG MIYONE (ou
Atanasio Ndongo) (1928 Date d'assassinat : 5 mars 1969), est un homme
politique et acteur de l'indépendance de la Guinée équatoriale.
AMILCAR LOPES CABRAL, Abel Djassi de
son pseudonyme, est un homme politique de Guinée-Bissau et des Îles du
Cap-Vert.
Naissance : 12 septembre 1924, Bafatá, Guinée-Bissau
Date d'assassinat : 20 janvier 1973, en complicité avec
Sekou TOURE et la France a Conakry, Guinée.Formation : Instituto Superior de
Agronomia
Parti : Parti africain pour l'indépendance de la Guinée
et du Cap-Vert
Frère : Luís Cabral.
OUTEL BONO est un homme
politique tchadien, assassiné en 1973. Wikipédia
Date d'assassinat : 26 août 1973.
FRANÇOIS TOMBALBAYE,
dit Ngarta Tombalbaye est un homme politique tchadien né le 15 juin 1918 à
Bessada, près de Koumra, et assassiné lors d'un coup d’État organiser par la
France le 13 avril 1975.
FELIX-ROLAND MOUMIE, né
en le 1er novembre 1925 non-loin de Foumban et mort empoisonné par la
France à Genève le 3 novembre 1960, est un médecin et homme politique
camerounais.
ACHEIKH IBN-OUMAR, né le 13 juillet 1951, est un homme politique
et chef de guerre tchadien originaire du Batha.
HERBERT WILTSHIRE CHITEPO, né le15 juin 1923 à Watsomba et mort le
18 mars 1975 à Lusaka, est un avocat, homme politique et chef militaire de
guérilla zimbabwéen. Naissance : 15 juin 1923, Watsomba,
Zimbabwe Date d'assassinat : 18 mars 1975, Lusaka,
Zambie
JOSIAH MWANGI KARIUKI 21 Mars 1929 au 2 Mars 1975) était un homme
politique socialiste du Kenya au cours de l'administration de la Jomo Kenyatta gouvernement. Il
a occupé différents postes du gouvernement à partir de 1963, lorsque le Kenya
est devenu un pays indépendant à 1975, quand il a été assassiné. Il laisse derrière lui trois épouses
et de nombreux enfants. Il a été
populairement connu comme "JM".
CLEMENS KAPUUO
Clemens Kapuuo était un homme politique du Sud-Ouest africain Namibie, chef
de l'ethnie des Ovahereros et le premier président de l'Alliance démocratique
de la Turnhalle.
Le colonel SOME YORIAN GABRIEL (ou
Somé Yoryan Gabriel) était un militaire et homme d'État de Haute-Volta (actuel Burkina
Faso).
Il
fut l'un des fondateurs de l'armée de Haute-Volta le 1er novembre 1961,
avec notamment le général Aboubacar Sangoulé Lamizana (qui fut président du pays
entre 1966 et 1980)
et le général Baba
Sy, entre autres anciens officiers de l'armée française s'étant mis
à la disposition de leur colonie d'origine lors de son accession à
l'indépendance en août
1960.
Il occupa lors de sa carrière plusieurs postes de responsabilité au sein de l'armée et de l'État, parmi lesquels aide de camp du président Maurice Yaméogo, ministre de l'Intérieur, chef d'Etat-major général de l'Armée Voltaïque et secrétaire général de la Défense.
Il occupa lors de sa carrière plusieurs postes de responsabilité au sein de l'armée et de l'État, parmi lesquels aide de camp du président Maurice Yaméogo, ministre de l'Intérieur, chef d'Etat-major général de l'Armée Voltaïque et secrétaire général de la Défense.
Il
fut assassiné le 9 août 1983 pendant la révolution burkinabè menée par Thomas
Sankara (et
qui avait débuté le 4
août). Il est depuis l'accession de Blaise
Compaoré au
pouvoir (en1987)
considéré comme le premier martyr de la révolution burkinabè.
Vernon Nkadimeng (25
Juin 1958 à Alexandra - le 21 mai 1985 dans Gaborone , Botswana ) était un membre de l' African National
Congress qui a été tué en exil au Botswana par les apartheid police secrète
Il a fui l'Afrique du Sud après la révolte de Soweto en 1976 à l'âge de 18 ans. Il est entré dans l' Umkhonto we Sizwe (MK) en Angola , l'aile armée de l'ANC et s'éleva bientôt
à travers les structures militaires de l'MK. Il a voyagé en Tchécoslovaquie avec le MK, où il a reçu
une formation militaire spécialiste. [ 2 ] Le 21 mai 1985,
Nkadimeng a été tué par une voiture piégée placée par la police de l'apartheid.
TOL PRESSE DU 17 NOV 2011 0 05:35
Samedi, 29 Octobre 2011 12:58 Depuis 1900, plus de 21 présidents Africains, alors au pouvoir, ont été assassinés : beaucoup d’entre eux, gênent les puissances coloniales en place et surtout la France dans notre continent d’Afrique .Bien sur, vous connaissez le SDECE, la DGSE et la DST? Eh bien, ce sont trois services de renseignements français qui ont la réputation de faire des coups d’Etat en Afrique. Depuis de Gaulle, les autorités françaises dénigrent les Africains de cette façon? Comptons le nombre des coups d’État et que la France a préparés, dirigés et soudoyés en Afrique, cela mérite une plainte à la cour pénale internationale contre l’état français. Pourtant les crimes français sont bien connus et les documentaires inondent les télévisions françaises et africaines pour bien se rendre compte qu’effectivement la France tue, empoisonne et pille en Afrique.Le Service de documentation extérieure et de Contre- espionnage (SDECE) a la charge de la «désinformation». Il prépare lui aussi, réussit ou manque des coups. Son territoire privilégié est l’Afrique. La DGSE est le principal service secret vers l’étranger, qui a en charge le contrôle des «gouverneurs à la peau noire». Il y a un autre la DST (Direction de la sécurité du territoire) qui s’occupe de l’intérieur et de l’extérieur de la France pour diverses raisons. D’abord parce qu’il s’agit de protéger la France des dangers de l’immigration. Ensuite, la DST, qui est une police politique, fait la coopération avec l’ensemble des polices politiques de toutes les dictatures du monde. Après la DGSE, la DST et le SDECE, il y a la Direction du renseignement militaire, le poisson- pilote de l’armée qui fait la propagande de la France lors des conflits en Afrique. DE DE GAULLE A SARKOZY : TEL PERE, TEL FILS De Gaulle a sacrifié les indépendances africaines au profit de celle de la France. Pour quatre (4) raisons : – la première, c’est le rang de la France à l’ONU avec un cortège d’Etat clients qui votent à sa suite ; – la deuxième, c’est l’accès aux matières premières stratégiques (pétrole, uranium) ou encore (l’or, le bois, le cacao…) ; – la troisième, c’est le financement de la vie politique française, à travers des prélèvements sur l’aide publique au développement ou la vente des matières premières ; – et la quatrième raison, c’est le rôle de la France comme sous-traitant des Etats-Unis auprès des pays d’Afrique. Donc, pour ces quatre raisons, la France a mis en place un système qui nie les indépendances. Et, c’est pour ces quatre raisons que le sang coulé sur le continent.Au Cameroun : L’UPC, luttait pour obtenir l’indépendance. Nyobé a été écrasé entre 1957 et 1970 dans un bain de sang qui a fait entre 100.000 et 400.000 morts.Togo Plus d’un quart de siècle de dictature avec la complicité de la France. Trois ans à peine après l’indépendance de la jeune République togolaise, ce fut l’irruption brutale de l’armée dans la vie politique. Le 13 janvier 1963, Sylvanus Olympio, le premier président démocratiquement élu est assassiné par le sergent Etienne Eyadema à la tête d’une clique d’anciens soldats, après la guerre du Vietnam. Ils ont fait un coup d’Etat avec l’appui de l’officier français qui était soi-disant chargé de la sécurité d’Olympio : ils ont assassiné ce président le 13 janvier 1963. Eyadema Etienne a passé plus de quarante ans au pouvoir. Il a fait un règne digne de Ceausescu et laissa un pays qui a sombré dans le chao et dans la pauvreté. Décédé en 2005, son fils Faure Eyadema le remplace et cela aussi n’a été possible qu’avec l’appui de la France. Centrafrique Il y avait un homme d’Etat prometteur, Barthélemy Boganda mort dans un accident d’avion extrêmement curieux. Il ne connaitra pas l’indépendance, la vraie qu’il réclame pour son pays. Barthélemy trouve la mort le 29 mars 1959, dans une catastrophe aérienne entre Berberati et Bangui, alors qu’il était en campagne à l’intérieur de son pays. Abel Goumba, médecin diplômé d’outre- mer, ministre d’Eta et président du Conseil de gouvernement, est chargé de l’intérim. David Dacko, jeune instituteur et héritier spirituel de Barthélemy Boganda et, avec l’appui des milieux français de Bangui, réussit à écarter Abel Goumba de la succession. En juillet 1959, l’Assemblée lui refuse les pleins pouvoirs. Il fait démissionner Abel Goumba resté au gouvernement. Celui-ci fonde alors un parti d’opposition le MEDAC (Mouvement d’évolution démocratique de l’Afrique centrale). Le MEDAC n’aura qu’une courte durée. David Dacko dissout le parti et emprisonne ses dirigeants. La République centrafricaine de David Dacko en proie à de graves crises financières (détournements de deniers publics) au lieu de réagir et d’agir vite décide de remettre le pouvoir au chef d’Etat major le colonel Jean Bedel Bokassa le 1er janvier 1966. La France érige le pays en Empire et pille les ressources centrafricaines. La suite ? Bokassa tombe et meurt dans la misère. Les Comores Deux chefs d’Etat assassinés et deux autres déposés par le mercenaire Bob Denard. Niger Le jour où le Nigérien Hamani Diori a voulu vendre son uranium à un autre pays, il a été déposé par un coup d’Etat militaire au cours duquel il perdit la vie. ASSASSINES, PARCE QU’ILS ONT REFUSES D’ETRE DES «MARIONNETTES» DE LA FRANCE
VOICI LE PLUS GRAND
CRIMINEL Bob Denard
Bob Denard, né Robert Denard le 7 avril
1929 à Grayan-et-l'Hôpital en Gironde et mort à Paris le 13 octobre 2007, est
un mercenaire français. Il a été impliqué dans de nombreux coups d'État en
Afrique
Gabon Léon M’ba meurt d’un cancer à Paris à l’hôpital Claude Bernard le 26 novembre 1967. Germain M’ba parent très éloigné de Léon M’ba, Inspecteur des douanes, licencié en droit et diplômé de sciences politiques,il finit ses études à la fin des années 50, au moment où son pays obtient l’indépendance. Nationaliste comme tous les Africains qui ont usé leurs fonds de pantalons sur les bancs de l’université, il ne supporte pas l’idée que ce soit des «marionnettes» de la France qui dirigent le Gabon. M’ba entre dès 1960 dans la vie politique active et devient aussitôt «dangereux agitateur» pour les agents et politiciens français qui assurent sur place l’ordre et la sécurité. Eloigné de Libreville par une importante nomination : secrétaire général adjoint à l’Union africaine et Malgache, il fait partie au début des années 60 du petit club des Africains francophones dont la voix compte sur la scène internationale. Le 19 Février 1964 les parachutistes français rétablissent Léon M’ba à la présidence. Le président démissionne de son poste pour marquer sa réprobation. L’affaire fait beaucoup de bruit et amplifie la campagne de presse contre l’attitude néo-colonialiste de Paris. Germain M’ba apparaît depuis cette affaire comme l’empêcheur de tourner en rond. Rejeté par Paris et par Libreville, il entame alors son errance de paria de la communauté officielle franco- africaine. Il se réfugie d’abord à Brazzaville d’où il est expulsé peu après par les hommes dépendant des services de Jacques Foccart. Il s’installe à Kinshasa, où il est emprisonné pendant un mois. Rejeté d’Afrique, Germain M’ba revient finalement en Europe et collabore au journal Jeune Afrique dont il devient en 1965 le rédacteur en chef adjoint. Affaire Germain M’ba à Libreville 18 Septembre 1971, un diplomate gabonais est abattu. Sa femme et sa fille blessées. Le cadavre disparaît. Tels sont les éléments d’une affaire ténébreuse qui soulève une vive émotion dans la capitale gabonaise. Dans la nuit de jeudi à vendredi, M. Germain M’ba ancien ambassadeur à Bonn nommé à Tokyo, rentre du cinéma en voiture, accompagné de sa femme et de sa fillette. Mme M’ba et sa fillette descendent de la voiture et entrent dans la maison. Au moment où M’ba ferme sa portière, un homme surgit de l’ombre et tire deux coups de pistolet sur lui. Germain M’ba s’effondre en poussant un cri. Et depuis, rien sur cette ténébreuse affaire à Libreville qui interpelle le défunt président Albert Bernard Bongo. Rappelons que c’est sur injonction du vieux Houphouët Boigny que le président gabonais a réintégré Germain M’ba dans le jeu politique. 21 PRESIDENTS AFRICAINS, ONT ETE ASSASSINES DEPUIS 1961 Depuis 1961 : Voici la liste des présidents, premier ministres, chef de guerre et chefs de gouvernements Africains, alors au pouvoir ou non ont été assassinés :
· Patrice Émery Lumumba étais le premier Premier
ministre de la République démocratique du Congo de juin à septembre 1960. Il
est, avec Joseph Kasa-Vubu, l'une des principales figures de l'indépendance
du Congo belge.
en 1963 : Sylvanus Olympio, président de la république du Togo. · Sylvanus Olympio
Homme
politique
· Sylvanus
Olympio était un homme politique et premier président de la République
togolaise du 9 avril 1961 au 13 janvier 1963. Il est mort assassiné lors du
coup d'État de 1963 par Gnassingbé Eyadema.
· Patrice Lumumba
en 1966 : John-Aguiyi Ironsi, président de la république du Nigeria. Major General Johnson Thomas Umunnakwe Aguiyi-Ironsi (né le 3 mars 1924, à Umuahia - mort le 29 juillet 1966, à Lalupon, dans l'État d'Oyo) était un soldat nigérian. Il a dirigé le Nigeria du 16 janvier 1966 jusqu'à ce qu'il soit renversé et assassiné par des rebelles le 29 juillet 1966. en 1969 : Abdirachid-Ali Shermake, président de la république de Somalie. Homme politique Abdirashid Ali Shermarke, né le 16 octobre 1919 et mort le 15 octobre 1969, est un homme politique somalien. Il a été Premier ministre du 12 juillet 1960 au 14 juin 1964, et président la République à partir du 10 juin 1967 jusqu'à son assassinat. en 1972 : Abeid-Amani Karumé, président de la république de Zanzibar.
·
Cheik Abeid Amani Karume [abɛjd.amani.karume] a été le premier
président de la République de Zanzibar.
en 1975 : Richard Ratsimandrava, président de la république de Madagascar. · Richard Ratsimandrava, né le 21 mars 1931 à Tananarive et mort le 11 février 1975 dans la même ville, est un militaire et homme politique malgache. Wikipédia en 1975 : François-Ngarta Tombalbaye, président de la république du Tchad. · François Tombalbaye
Homme politique
·
François Tombalbaye, dit Ngarta Tombalbaye est un homme politique
tchadien né le 15 juin 1918 à Bessada, près de Koumra, et assassiné lors d'un
coup d’État le 13 avril 1975.
en 1976 : Murtala-Ramat Mohammed, président de la république du Nigeria · Murtala Muhammed
·
Le général Murtala Ramat Muhammed fut le chef du gouvernement
militaire fédéral du Nigeria du 29 juillet 1975 à sa mort. Portail du Nigeria
en 1977 : Marien Ngouabi, président de la république du Congo-Brazzaville · Marien Ngouabi Homme politique
·
Marien Ngouabi est un officier et homme d'état congolais, né le 31
décembre 1938 à Ombele, mort assassiné le 18 mars 1977 à Brazzaville. Il a
été président de la République du Congo du 31 décembre 1968 à sa mort.
en 1977 : Teferi Bante, président de la république d’Ethiopie Tafari Benti, également retranscrit Teferi Bante (1921 – 1977) est un homme politique éthiopien. Du 28 novembre 1974 au 3 février 1977, il est le président du Derg, junte militaire au pouvoir après le renversement de l'empereur Hailé Sélassié. Au sein du Gouvernement militaire provisoire de l'Éthiopie socialiste, Tafari Benti occupe le poste de chef de l'État de l'Éthiopie, mais c'est Mengistu Haile Mariam, vice-président du Derg, qui s'affirme progressivement comme le principal dirigeant politique. Le 3 février 1977, Tafari Benti est assassiné ; Mengistu lui succède comme chef de l'État éthiopien. · Ali Soilih Homme politique
· Frère :
Saïd Mohamed Djohar
Le 13 mai 1978, le mercenaire français Bob Denard le renverse à
son tour par un coup d'État. Alors qu'Ahmed Abdallahretrouve le
pouvoir, Soilih trouve la mort dans des conditions peu claires. La chute de
Soilih provoque des manifestations de joie dans les trois îles (Anjouan, Mohéli et Grande Comore).
en 1981 : Anouar el-Sadate, président de la république d’Egypte · Anouar el-Sadate
Ancien Président d'Égypte
·
Anouar el-Sadate, transcrit également ʼAnwar as-Sadāt, né le 25
décembre 1918 et assassiné le 6 octobre 1981, est un homme d'État égyptien. Wikipédia
·
Enfants : Lubna
Sadat, Camelia
Sadat, Gamal
Sadat, Ruqayyah
Sadat, Noha
Sadat, Jihan
Sadat, Rawya
Sadat
en 1981 : William-Richard Tolbert, président de la république. de Liberia · William Richard Tolbert
Homme politique
·
William Richard Tolbert, Jr. était un homme politique libérien,
président de la République du Libéria de 1971 à sa mort en 1980. Franc-maçon
et pasteur baptiste, il fut aussi président de l’OUA entre 1979 et 1980.
en 1987 : Thomas Sankara, président de la rép. de Burkina-Faso · Thomas Sankara
Homme politique
·
Thomas Sankara est un homme politique anti-impérialiste,
panafricaniste et tiers-mondiste burkinabè. Il est né le 21 décembre 1949 à
Yako en Haute-Volta et mort assassiné le 15 octobre 1987 à Ouagadougou au
Burkina Faso.
en 1989 : Ahmed Abdallah, président de la rép. des Comores · Ahmed Abdallah Abderamane
Homme politique
·
Ahmed Abdallah Abderamane, né le 12 juin 1919, mort le 26 novembre
1989, est un ancien président de la République fédérale islamique des
Comores. Abdallah est né à Domoni, sur la côte est de l'île d'Anjouan.
en 1989 : Samuel-Kanyon Doe, président de la rép. de Liberia · Samuel Doe
Homme politique
·
Samuel Kanyon Doe était un militaire et un homme politique libérien,
mort assassiné. Malgré un régime autoritaire marqué par la violence, il met
fin au régime à parti unique du True Whig qui confisquait le
· Enfants : Veronica Doe, Celue Doe, Samuel Kanyon Doe, Jr, Kathy Doe, Varney Doe, Roland Doe, Tdisho Doe Pendleton
en 1992 : Mohammed Boudiaf, président de la rép. d’Algérie · Mohamed Boudiaf
Homme politique
·
Mohamed Boudiaf, né à M'Sila le 23 juin 1919, assassiné le 29 juin
1992 à Annaba, est un homme d'État algérien. Il dirige l'Algérie du 16
janvier 1992 au 29 juin 1992
en 1993 : Melchior Ndadayé, président de la rép. du Burundi · Melchior Ndadaye
Homme politique
·
Melchior Ndadaye né le 28 mars 1953 à Murama, dans la commune de
Nyabihanga, de la province de Muramvya au Burundi était un homme politique
burundais, premier président démocratiquement élu au Burundi. Il appartenait au
groupe ethnique des Hutus.
– en 1994 : Cyprien Ntaryamira, président de la rép. du Burundi · Cyprien Ntaryamira
Homme politique
·
Cyprien Ntaryamira, était un homme politique burundais, Président de
la République du Burundi pendant tout juste deux mois, du 5 février au 6
avril 1994.
en 1994 : Juvénal Habyarimana, président de la rép. du Rwanda · Juvénal Habyarimana
·
Juvénal Habyarimana fut le président de la République rwandaise de
1973 jusqu'à son assassinat en 1994. Juvénal Habyarimana a épousé Agathe
Kanziga. Wikipédia
en 1999 : Ibrahim Barré-Maïnassara, président de la rép. du Niger · Ibrahim Baré Maïnassara
·
Le général Ibrahim Baré Maïnassara, qui a mené le coup d'État au Niger
et pris la tête du Conseil de salut national, est un militaire de carrière
nigérien, président de la République de 1996 à 1999.
en 2001 : Laurent-Désiré Kabila, président de la rép. du Congo-Kinshasa · Laurent-Désiré Kabila
Homme politique
·
Laurent-Désiré Kabila, est un homme politique congolais. Engagé à
partir des années 1960 contre le régime de Mobutu, il parvint finalement à
renverser ce dernier en 1997, lors de la première Guerre du Congo. Wikipédia
en 2011 : Mouammar khadafi, président de la rep
du Libye, assassiné par le CNT de la France · Mouammar Kadhafi
Ancien guide de la Révolution
· Mouammar Kadhafi,
né le 19 juin 1942 à Qasr Abou Hadi et mort le 20 octobre 2011 dans les
environs de Syrte, communément appelé le colonel Kadhafi, est un militaire,
homme d'État et idéologue politique libyen.
·
Jonas Savimbi
Chef de guerre
·
Jonas Malheiro Savimbi était un chef nationaliste angolais. Il est né
dans la province de Moxico et issu de l’ethnie ovimbundu. Wikipédia
Alhaji Abubakar Tafawa Balewa Sir , KBE (Décembre 1912 à 1915 Janvier 1966) était un Nigérian politicien , et le seul premier ministre d'un indépendant Nigeria . A
l'origine un professeur de formation, il est devenu un leader vocal pour les
intérêts du Nord comme l'un des quelques Nigérians instruits de son temps. Il était aussi un homme d'Etat
international, très respecté à travers le continent africain, l'un des
leaders qui ont encouragé la formation de l' Organisation de l'unité africaine (OUA). Surnommée
la voix d'or de l'Afrique en raison de son éloquence, il se présente comme
l'un des trois héros nationaux de la nation nigériane. Il a été renversé et assassiné dans un coup d'Etat militaire le 15 Janvier 1966
Le général João Bernardo Vieira, dit
« Nino Vieira », est
un officier et un homme politique bissau-guinéen, né le27 avril 1939 à Bissau, où il est mort
assassiné le lundi 2 mars 20091. Il était président de la
République de Guinée-Bissaudepuis
le 1er octobre 2005.
La mort du président bissau-guinéen
Joao Bernardo Vieira, porte à 30 le nombre de Chefs d’Etat ou de Gouvernement
africains assassinés, moins de 40 ans après les indépendances. Le TOGO donne
le mauvais exemple avec l’assassinat de Sylvanus Kwame Epiphanio Olympio, le
13 janvier 1963. Et depuis lors, le NIGERIA et le GHANA battent le record.
Pauvre Afrique !
1963 : Sylvanus Olympio (Togo)
1966 : Tafawa Balewa (Nigeria)
1966 : Johnson Aguiyi-Ironsi
(Nigeria)
1969
: Abdirashid Shermak (Somalie)
1972
: Kwame Nkrumah (Ghana)
1974 : Aman Andou (Ethiopie)
1975 : Hailé Sélassié (Ethiopie)
1975 : François Tombalbaye (Tchad)
1976 : Colonel Dinka (Nigeria)
1976 : Murtala R. Mohammed
(Nigeria)
1977 : Ali Sohili (Comores)
1977 : Tefer Banté (Ethiopie)
1977 : Mariem NGouabi (Congo
Brazzavile)
1979
: Macias NGuema (Guinée Equatoriale)
1979
: Frederick Williams Kwasi Akuffo (Ghana)
1979
: Ignatus Kutu-Achealmpong (Ghana)
1979
: Akwasi Amankwaa Afrifa (Ghana)
1980
: William richard Tolbert (Libéria)
1981
: Anouar El Sadate (Egypte)
1984
: Samora Moise Machel (Mozambique)
1987
: Thomas Sankara (Burkina Faso)
1989
: Samuel Doe (Liberia)
1989
: Ahmed Abdallah (Comores)
1992
: Mohamed Boudiaf (Algérie)
1993
: Melchior Ndadaye (Burundi)
1994
: Juvenal Habriarimana (Rwanda)
1994
: Cyprien Ntaryamira (Burundi)
1999
: Baré Mainassara Ibrahim (Niger)
2001 : Laurent Désiré Kabila
(RDCongo)
Et le tout dernier, le
bissau-guinéen Joao Bernardo Vieira.
|
Commentaires
Enregistrer un commentaire